Pour que les présentations de vos personnages ne se perdent pas. Celle-ci seront regroupées ici sous vos pseudos, anciennes et nouvelle édition du topic !

❧ Répertoire

A

Aimyyy :
❧ Aimylis

Andromedea :
❧ Aɴᴅʀᴏᴍᴇᴅᴇᴀ


C

Chatyr :
❧ Naomi


D

Daraen :
❧ Aèlberht Daraen
❧ Hyacynth
❧ Ljýfan de Stjärn

Delfyn :
❧ Delfyn

E

Elda-Arya :
❧ Arya

I

Istalrì :
❧ Abyme Freyjar

L

Lilalisana :
❧ Katerine

Lulyah :
❧ Lulyah Olpharya
❧ Aglad Vagner
❧ Evana Dycelya

S

Shokolys :
❧Shokolys Linka

En attente de vos nouvelles fiches !

Dernière modification par Aimyyy (Le 31-10-2025 à 21h45)

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☞ Présente nous ta Gardienne #2 ☜

☞ La générosité des Ombres ☜

"Il existe deux choses dans la vie que l'on ne peut fuir, peu importe le chemin parcouru : la Mort et le Temps"

Bonsoir ici !

Eh bien, je ne savais pas que ce topic avait rouvert ses portes. Quelle heureuse (et impromptue) découverte ! Merci pour cette réédition @Aimyyy ! Puisque j'avais déjà présenté ma gardienne ici par le passé, je viens aujourd'hui présenté mon plus vieil OC (créée en 2001, c'est dire ça ne me rajeunit pas d'ailleurs...) dans sa version eldaryenne. C'est parti !

Aglad Vagner

Surnom : La lame obscure (par ses clients), l’âme vengeresse (par les membres de son peuple)

Âge : 28 ans

Taille : 1,70 mètre

Poids : 58 kg

Orientation sexuelle : Hétérosexuelle

Espèce : Poupée

Langues maîtrisées : La langue commune d’Eldarya

Son apparence

Aglad est une jeune femme de grande taille et svelte. Elle dispose d’une silhouette gracieuse et une démarche envoûtante qui capture naturellement les regards. Ses cheveux sont d’un noir de jais qui coulent en cascade dans son dos, bien qu’il lui arrive de les attacher durant ses missions. Son teint est de porcelaine, caractéristique de son peuple. Elle dispose d’un visage aux traits fins et raffinés, rehaussés par des yeux d’amandes aux couleurs de l’émeraude. Toujours vêtue de noir, elle n’en est pas moins une très jolie femme.

Son apparence

Toutefois, comme chaque médaille, l’apparence d’Aglad dispose d’un revers. Instable psychologiquement, il lui arrive d’entrer dans la folie lors de combats particulièrement compliqués avec des opposants qui lui tiennent tête de trop ou si elle reçoit une blessure. Dans ce cas-là, son masque de beauté se fissure, tant au sens propre qu’au sens figuré, laissant tomber grâce et élégance, révélant la noirceur de son être. Bien souvent les lèvres déformées d’un rictus laissant transparaître sa folie, son visage ne reflète plus que la laideur cachée au plus profond de son âme.

Son apparence brisée

Quelques autres de ses apparences

Par @Elena_Altair

Ses qualités et ses défauts

Les principales qualités d’Aglad sont d’être sérieuse et intelligente. La nature ne l’a pas seulement dotée d’un physique avantageux, mais également d’un esprit particulièrement vif et affuté. Elle est par conséquent une bonne stratège. Capable de simuler de nombreuses émotions, elle peut faire face à n’importe quelle situation, tel un caméléon. Sûre d’elle, ses gestes ne sont entravés par aucune hésitation, quelle que soit la tâche qu’elle se doit d’accomplir. Elle est également très belle, une arme dont elle use et abuse dans sa recherche d’information.

Côté défaut, Aglad a parfois un peu trop tendance à sous-estimer ses ennemis, les rabaissant sans se méfier autant qu’elle le devrait. Elle est également d’une cruauté sans bornes et ignore ce qu’est l’empathie. Elle est assez butée et ne supporte pas les provocations, ce qui peut l’amener à faire des erreurs quand elle y répond. Quand elle entre dans une colère sourde, elle laisse parler sa folie, ce qui lui vaut de négliger certains aspects importants de la défense et de la prudence. Elle ne supporte pas qu’on lui tienne tête et déteste les ordres, ce qui lui a valu plusieurs fois de tuer ses propres clients.

Aglad en tant que poupée

Aglad est un membre du peuple qui réside dans les terres lointaines d’Halloween, sur l’île aux poupées. Malgré l’aspect frêle et délicat que leur peau de porcelaine peut suggérer, elles n’en sont pas moins des combattantes aguerries. Tous les membres de ce peuple sont des tueurs à gages et vendent leurs services dans les ombres des ruelles aux quatre coins du monde depuis la nuit des temps. Principalement à la garde d’Eel et aux grandes familles eldaryenne pour éliminer leurs ennemis rampant dans les souterrains, bien que chacun de ces édifices a tout fait pour que cela ne s’ébruite pas. Par conséquent, Aglad sait manier de nombreuses armes discrètes qui se cachent facilement (un poignard dans un éventail, une seringue de poison au bout d’un parapluie…), mais elle est également adepte des faux, se délectant de l’image de faucheuse que cela lui confère. Comme tous les membres de son peuple, elle jouit d’une jeunesse éternelle et d’une résistance au combat à toute épreuve. En effet, une poupée peut se briser et se reconstruire tant que le cerveau ou le cœur ne sont pas touchés. Elles conservent cependant les fêlures sur leurs peaux, les plus anciennes s’en servant de preuve lors de leur récit de bataille. Les poupées sont également capables de ralentir leur rythme cardiaque et leur respiration à un seuil difficilement perceptible afin de se faire passer pour un objet inanimé, leur permettant de s’infiltrer dans de nombreuses structures. C’est d’ailleurs cette capacité qui a inspiré certains films d’horreur terriens. Enfin, Aglad a une certaine affinité avec le maana et est versée dans la magie noire depuis de nombreuses années.

Son histoire

Son enfance

Aglad est originaire du village de Doll, sur l’île aux poupées. Elle n’a jamais connu ses parents, décédés lors d’une mission qui a mal tourné alors qu’elle n’était encore qu’un bébé. Elle s’est donc fait élever par le chef de son village, Mowart, un homme très érudit qui lui apprit tout ce qu’elle avait besoin de savoir. Très tôt, il ressentit qu’Aglad était une âme tourmentée, attirée par les aspects les plus sombres du monde. Si une poupée est d’ordinaire une lame vengeresse sans autre but que d’exaucer la commande de son client, il se rendit compte rapidement que la jeune femme semblait éprouver beaucoup de plaisir à donner la mort. Il essaya alors de lui apporter un peu de compagnies en lui proposant un familier, mais considéra cela comme un échec quand il vit que le choix d’Aglad se porta sur un bébé Rawist qu’elle décida d’appeler Belladone. Après cet échec, il mit tout en œuvre pour essayer de lui montrer les aspects les plus positifs du monde, en essayant de l’initier à quelques formes d’art. Mais hormis le patinage, rien ne semblait réellement motiver Aglad. Malgré tout, avec ses efforts, Mowart réussit à en faire une adolescente à peu près respectable qui se contentait de faire ce pour quoi elle était payée, éliminant les gredins qui menaçaient la paix d’Eldarya.

La rencontre de sa vie

À dix-huit ans, Aglad fit la connaissance de Cobalt, un humain qui était arrivé par hasard en Eldarya et qui s’en trouvait donc un peu perdu. Bien que tueuses à gages, les poupées ont un code d’honneur qui vaut de ne jamais s’en prendre à un innocent ou à quelqu’un qui n’est pas l’une de leurs cibles. Aussi, elles l’accueillirent dans leur village et essayèrent de l’aider comme elles pouvaient, malgré des modes de vie diamétralement opposés.

Cobalt n’était pas particulièrement beau, avec une barbe de trois jours mal taillée et des cheveux châtains continuellement en bataille. Il n’était pas très grand et assez chétif, se déplaçant d’une démarche bourrue et parfaitement inélégante. Seuls ses yeux, de la couleur de son prénom, étaient de toute beauté. Aussi, quand il tomba sous le charme d’Aglad au premier regard, bon nombre des habitants du village rirent quant au râteau qu’il allait immanquablement se prendre. Mais ils furent tous surpris de voir qu’Aglad sembla s’intéresser tout autant à ce garçon. Si au départ, ce n’était que de la curiosité, elle lui montra rapidement un vif intérêt. Elle, jusqu’alors vu comme quelqu’un de sombre portant la mort en manteau, révéla une tout autre personnalité solaire et rayonnante en la compagnie du jeune homme. Très vite, il fut impossible de les voir l’un sans l’autre, Aglad écoutant toujours avec grand intérêt la vie que Cobalt menait sur Terre. Tout comme la demoiselle, il était orphelin et, n’ayant personne l’attendant dans son monde d’origine, il ne semblait pas plus malheureux que ça de ne pas pouvoir y retourner. Mowart vit toutefois en cette présence l’opportunité de débarrasser Aglad de la part d’ombre accrochée à son âme et proposa à Cobalt de devenir officiellement un membre de leur village, ce que le jeune homme accepta.

Le drame de sa vie

Cela faisait dix ans que Cobalt était arrivé parmi les poupées. Si sa condition d’humain lui pesait encore parfois dans ce monde de magie, il s’était finalement bien habitué à sa nouvelle vie. Et après avoir rassemblé son courage, il avait fait sa demande en mariage à Aglad qui avait été acceptée. Les membres du village ne parlaient plus que de cela, leur beauté, désormais plus rayonnante que le soleil, ayant finalement trouvé quelqu’un pour vivre avec elle.

Cependant, une semaine avant la cérémonie, alors qu’Aglad avait quitté l’île pour accomplir un contrat, le village des poupées se fit attaquer. Par un groupe non identifié, mais qui faisait parler d’eux pour faire la traque des humains installés en Eldarya. Et à la suite de cette attaque, Cobalt se fit emmener de force. Quand Aglad revint et découvrit que son fiancé avait disparu, elle entra dans une colère noire, semblant animée d’une folie meurtrière et réclamant vengeance. Inquiet pour son intégrité mentale ainsi que pour la sécurité des autres habitants de l’île, Mowart l’a fit mettre en quarantaine. Il dépêcha des équipes pour tenter de localiser où Cobalt avait pu être emmené, mais ne parvint pas à rassembler suffisamment d’informations. Parallèlement, il dut se rendre à l’évidence qu’il ne parviendrait pas à retenir Aglad indéfiniment. Contrairement à ce qu’il avait pensé, Cobalt n’avait pas fait disparaître sa part obscure pendant dix ans, il l’avait canalisé. Et sans cette présence salvatrice, Aglad révélait de nouveaux les aspects les plus repoussants de son être. Aussi, il ne put que contempler son échec la nuit où la jeune femme parvint à s’enfuir du village sans un regard en arrière.

L'âme vengeresse

À la suite de cela, Aglad commença à voyager de ville en ville tout en se documentant autant qu’elle le pouvait sur la magie noire qui l’avait toujours attirée. Elle rompit également tous les codes d’honneur de son peuple. Chacun des contrats d’assassinats qu’elle prenait se terminait toujours par la mort de la victime, mais aussi de son client, espérant ainsi pouvoir abattre d’une façon ou d’une autre ceux qui lui avaient arraché son fiancé. Et trouver des informations sur le lieu où il était retenu captif. Ses pas la rapprochaient ainsi de plus en plus de la cité d’Eel, qu’elle soupçonnait, peut-être à tort, d’avoir une part de responsabilité dans cette histoire.

Compte tenu de ce qu’elle était devenue, Mowart décida de mettre lui-même une prime sur la tête de celle qu’il avait essayé d’élever comme sa fille, espérant ainsi pouvoir l’arrêter avant qu’elle n’aille définitivement trop loin.

Autres informations

Malgré tout ce qui est arrivé dans sa vie, Aglad reste très attachée au patinage artistique. Elle avait essayé d’y initier Cobalt et continue de le pratiquer quand elle doit traverser des lacs gelés en pensant à lui.

Aglad inspire naturellement la crainte aux familiers qu’elle croise, ceux-ci semblant sentir son esprit quelque peu dérangé. Seul Belladone reste près d’elle envers et contre tout. Il semblerait pourtant que la jeune femme n’ait jamais fait le moindre mal à l’une de ces créatures.

Il lui arrive fréquemment de soliloquer, notamment pour demander à Cobalt de l’attendre encore un peu.

La première fois qu’elle a rencontré des membres de la garde d’Eel, ceux-ci ont pensé, à tort, que son comportement était dû à une contamination par le Cristal.

Malgré ce qu’elle semble se borner à penser, la garde d’Eel n’aurait rien à voir avec l’enlèvement de Cobalt, celui-ci ayant été réalisé par un autre organisme qui essaie de faire porter le blâme à la cité blanche.

Aglad et Cobalt par le talentueux @ZuzoHyo

Ses principales relations

Belladone : Son familier, un rawist adulte. C’est sur son dos qu’elle s’enfuit le soir où elle quitte Doll. Malgré le fait qu’il sente l’âme dérangée de sa maîtresse, ce familier n’a jamais semblé en éprouver la moindre crainte ou avoir envie de la fuir. Lui-même semble beaucoup apprécier Cobalt et partage peut-être ce désir de le retrouver. Sa vitesse est son principal atout, mais aussi la force que lui donne sa taille prodigieuse. Il est toujours là pour couvrir les arrières de sa maîtresse et se charge de la faire fuir quand les choses commencent à devenir trop dangereuses pour elle.

Cobalt : Il est âgé de 27 ans au moment de sa disparition. Bien que tout les séparait, il est tombé amoureux d’Aglad au premier regard et n’avait pour seule ambition que de pouvoir la rendre heureuse. Il n’a jamais voulu croire tous ceux qui disaient que la jeune femme cachait une part d’ombre en elle, n’ayant jamais vu cette part de sa personnalité. Au contraire, il l’a toujours trouvé resplendissante et lumineuse comme une déesse. Il était cependant le premier à dire qu’une beauté comme elle n’avait rien à faire avec quelqu’un comme lui et fut donc très surpris quand elle accepta de sortir avec lui pour se fiancer par la suite.

« Je ne regrette pas du tout d’avoir quitté la Terre par inadvertance ! Au contraire, je vois ça comme un signe du destin ! Quelque part, je me dis que lui aussi voulait que je te rejoigne ! Nous étions faits pour nous rencontrer ! »

Mowart : C’est une poupée d’une soixantaine d’années, arborant une barbe broussailleuse aussi grisonnante que ses courts cheveux. Sa peau de porcelaine est recouverte de nombreuses fêlures, montrant sa vie de tueur à gages avant qu’il ne prenne sa retraite pour gérer le village de Doll. Il était autrefois en très bonne relation avec le chef de l’Etincelante, Yunoki Kaze.

Il a recueilli Aglad comme sa fille peut de temps après le décès de son épouse et a tout fait pour l’élever dignement malgré l’absence d’une figure maternelle. Cependant, il n’est pas parvenu à inculquer ses valeurs à la jeune femme et le vit aujourd’hui encore comme un échec. Malgré la décision drastique qu’il a prise pour arrêter Aglad, une part de lui regrette de devoir infliger cela à celle qu’il a vu grandir.

« Mon tort a toujours été de penser pouvoir t’arracher à cet attrait pour les ténèbres. Je pensais œuvrer pour ton bien. Sans remarquer que tu n’as jamais demandé à être sauvée. Et c’est précisément pour cela que toi et moi, nous ne nous comprendrons jamais, Aglad. »

Et c'est tout pour moi, pour le moment. A la prochaine !

"Qu'importe si je dois attendre un millénaire, que mon âme se glace et que mon corps tombe en poussière.... Je te retrouverai, mon amour."

Dernière modification par Lulyah (Le 13-07-2025 à 21h49)

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Découvre ma plume : Ma fanfiction ~ Mes histoires originales ~ Signature par @Demanciel

@iNeptuna

Bonsoir,

J'ai longtemps hésité à venir ici (je ne sais même plus si avant l'incendie, j'y étais passé) donc je saute le pas.

Spoiler (Cliquez pour afficher)

visuel du personnage IA + Eldarya + Fan-art

présentation

Signification :Arya est son deuxième prénom qui lui vient de son arrière grand-mère paternelle. Lance la qualifiait de "gamine" juste pour le plaisir de l'énerver et Ezarel l'appelle " râleuse" mais elle est surnommée par son diminutif El'.

Age réel : 22-23 (18 à son arrivée)

Race : Faelienne à ascendance aquatique non identifiée.

Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle

Statut/métier : Danseuse dans un night-club, (Eldarya)Membre de l’Obsidienne (ancien compte mais toujours Obsidienne), chez Purriry.

Talents/dons :Danse, natation, cuisine, (Eldarya)tir à l’arc et aquamancie.
Langues parlées :

Armes : Arc (une des meilleures), dague et épée (se débrouille)

Talents / Dons / Pouvoirs : Capacité à communiquer avec les familiers aquatiques, se métamorphoser en Sirène pour se déplacer plus vite, manipulation de l'eau (son corps devient de l'eau par exemple mais il doit y en avoir pour que ça marche)

Loisirs : Lecture, dessin, League Of Legends, chant, cuisine, couture, taquiner Valkyon (Oui, c'est un loisir chez elle et il le lui rend bien)

Familier : Delphis, un perlifynn femelle

Apparence

Elda est typiquement humaine : sa peau est caucasienne mettant en valeur à la fois ses yeux de couleur vert olive et sa chevelure châtain cendré soyeuse et ondulée. Ces derniers sont suffisamment longs pour qu’elle reprenne les coiffures de Margaery Tyrell et Daenerys Targaryen (ses personnages préférés de Game of Thrones). Son visage ovale et ses traits fins la font paraître plus jeune qu’elle en a l’air. Elle aime prendre soin d'elle-même (que cela soit niveau maquillage ou esthétique) en particulier de ses cheveux.
Sa taille est estimée entre 1m65 et 1m70, de corpulence normale et d’une morphologie en sablier avec très peu de formes.

Particularité physique : Elle s'est fait tatouer un cœur sur la cuisse pour marquer le coup de la réussite de sa première grande mission.

Mental

Elda est une introvertie qui peine à faire confiance puisqu'elle est devenue méfiante et analyse tout.
Elle aimerait connaître le bonheur et refaire sa vie en tournant le dos à son ancienne vie. Le bonheur étant à ses yeux la meilleure vengeance, elle comprend qu’elle doit guérir des séquelles qui l’empêchent de vivre en expérimentant par elle-même les nombreux interdits de sa jeunesse.
Elle s'isole souvent en traînant sur la plage pour y nager ou s’y balader. Elle met la musique à fond quand elle s’entraîne et celles qu'elle choisit reflète beaucoup ses humeurs et états d'esprit. A cause de son côté fashionista, elle passe pour vaniteuse mais cela lui permet de travailler à mi-temps chez Purriry.

Elda est à l'image de sa mère : intelligente, lucide et sûre d'elle.
Cependant, elle sait quand ne pas franchir les limites et n'use de la ruse que par survie. Elle se fie davantage à son intuition et ses sentiments qu'à la logique. Quand sa confiance est accordée, elle est d'une loyauté absolue ainsi que de patience et de tolérance (jusqu'à un certain point). Les évènements de sa jeunesse font qu'elle est capable d'empathie mais ne laisse rien paraître.

Peurs : Retomber dans une relation malsaine et retourner sur Terre.

Goûts : À l’instar de Keroshane et d’Ykhar, Elda est une amoureuse des livres et des langues, sachant en parler 6 (anglais, japonais, italien, français, espagnol et le grec). Elle a toujours porté de l’intérêt envers les temps anciens et les mondes fictifs/différents, ayant des racines grecques. Son plus gros vice caché et bien gardé (parce que ça cache l'image qu'elle renvoie) est qu'elle est une grosse joueuse de LoL (elle adore les champions K/DA).
Accessoires/objets/bijoux/possessions : Son portable est l'unique effet personnel qui la relie à son ancienne vie. Elle porte toujours la bague de son arrière-grand-mère, Arya.
Pour elle, « L’amour, c’est comme le cristal ; si difficile à trouver mais si facile à casser » et "La beauté d'une femme est inutile si elle n'a pas l'intelligence."

Histoire

Evénements marquants :
Enfance : Ses parents se sont séparés quand elle avait 5 ans et il a fallu qu’Elda ait 13 ans pour revoir son père pour la première fois. Quant à sa mère, cela est allé de pire en pire avec les années car elle s’est vengée de son mari sur sa fille. Cela l’a progressivement détruit puisqu’elle a donné corps et âme pour satisfaire sa mère sans rien recevoir. La toxicité de sa mère était telle que ses repères sont brouillés et vit dans la peur de retomber sous la coupe de quelqu’un. Quand elle va découvrir plusieurs vérités dont les raisons du divorce parental, sa colère se change en haine et la rupture est définitive, rendant la réconciliation impossible.

Adolescence : voir "Relations"

Adulte :

Un Nouveau Monde => Quand elle est chassée de chez elle, elle s'enfonce dans la forêt de Sherwood et se laisse tomber dans un lac qui cachait un portail menant à Eldarya. Elle atterrit sur une île déserte sur laquelle elle vivra trois longs mois, découvrira ses pouvoirs aquatiques et passera du temps avec des Margygrs qui erraient dans le secteur ; c'est ce qui l'aidera avec sa forme Sirène.
Lorsqu'un navire débarque sur Mako (le nom qu'elle a donné à l'île en référence à sa série de jeunesse H2O), elle prend peur en voyant des gens armés qui explorent les lieux sans la trouver elle... ou presque. Dès le lendemain, l'équipage prend le large et les Margygrs en ont profités pour attaquer. Assistant au carnage des sirènes anthropophages, elle tente d'intervenir sans parvenir à tous les sauver, c'est en portant secours à un en particulier qu'elle se fait attrapée et enfermée au QG. Elle ne doit sa liberté qu'à l'homme qu'elle a sauvé des Margygrs qui n'est autre que le frère de Lance, le chef de l'Obsidienne de l'époque. Durant une année, Valkyon fut le seul ami qu'elle ait eu malgré leurs tempéraments opposés et contre toute attente, cette amitié va lui être d'une aide déterminante à l'avenir surtout à la mort de Lance. Là où Valkyon fut un pilier pour Elda, c'est elle qui endosse ce rôle et est la seule devant qui il se permet d'être plus ou moins vulnérable.

De longues remises en question => Un an après son arrivé au QG, se croyant prête à retenter l'aventure, Elda a une brève histoire qui se finit quand elle s'aperçoit qu'elle a encore une fois attiré un homme nocif qui, blessé dans son orgueil d'avoir été largué par une femme, raconte à qui veut l'entendre la possibilité d'une relation illicite non pas avec un mais avec les deux frères de façon simultané. Lorsque cela arrive aux oreilles des concernés, Valkyon console Elda qui est plus affectée que prévu et Lance le gifle publiquement en disant qu'il est chanceux que ça soit lui sinon son jumeau l'aurait défiguré. Durant l'été, une nouvelle nommée Caméria intègre la Garde Obsidienne et se lie d'amitié avec Elda le temps d'une mission aux Cyclades... C'est d'ailleurs à ce moment-là que le futur chef obsidien commence à regarder son amie autrement après un baiser dans un moment de faiblesse où elle lui avoue ce qu'il lui est arrivé avant Eldarya.

Une ascension de confiance => A la disparition de Lance, l'Etincelante convoque la jeune femme afin de pouvoir avoir la main mise sur l'Obsidienne jugeant Valkyon plus malléable que son aîné. On lui propose alors de se rapprocher de façon plus intime du nouveau chef de Garde, étant donné leur proximité, en échange d'un retour sur Terre ; il lui est même suggéré de s'apprêter de façon plus féminine pour garantir ses chances de réussites. Ecœurée par un tel manque d'empathie venant des soi disant amis de Valkyon, Elda refuse et proteste au vu du récent drame ce qui lui attirera les foudres de Miiko.
Dès le premier soir, elle avoue tout à son ami qui contre toute attente se relève être plus lucide que prévu et lui propose une bien meilleure offre : faire mine de leur obéir afin de les espionner dans le but de contrer leur projet en échange d'un poste où elle peut non seulement utiliser ses compétences de gestion à bon escient et surveiller étroitement le moindre changement suspect... Devenir son bras droit sur le plan administratif. Flattée de la confiance qui lui est accordée, Elda accepte le marché et tous deux se battent pour préserver l'héritage que Lance a légué à l'Obsidienne.

Relations :
Famille :Jusqu’à la séparation, Elda et Laura avaient une relation mère-fille basique. Puis, Laura a montré son vrai visage ; elle manipulait sa fille en la poussant en continu à bout, n’étant jamais satisfaite de ses efforts. Elda tient beaucoup de ses centres d'intérêts de son père ainsi que son goût pour la cuisine. Le divorce l’a beaucoup affecté dans le sens où elle a perdu une partie d’elle, montrant combien ils étaient proches l’un de l’autre.

Amis : Eweleïn, Huang Hua, Ykhar et Caméria sont ses seules véritables amies.
Eweleïn sait conseiller Elda quand les choses ne vont pas et sait garder ses secrets.
Lors des premiers mois de la mort de Lance, Valkyon lui offre Delphis, un Perlifynn femelle, pour son anniversaire comme premier vrai familier.
El’ aime discuter avec Ykhar, même si elle peine à la suivre.
Elda adore Caméria, la voit comme son modèle et est ce qui se rapproche le plus d’une amie. Elle est la seule à se douter qu'Elda est amoureuse.
Dans l’ensemble, Elda a de bons rapports avec sa garde, l’Obsidienne.

Amour :

Trigger warning

Au lycée, Elda rencontre son premier amour, Kyle Adams, mais ne sortira pas avec tout de suite. Elle sera en couple avec Casey quelques mois après sa première rupture mais la situation est pire ; elle vit la même chose que chez sa mère si ce n'est pire. Kyle va le découvrir et mène automatiquement à une séparation quand il surprend Casey levant la main sur elle. Il faudra attendre une année entière avant que Kyle et Elda se mettent ensemble en cachette jusqu’à ses 18 ans. Sa mère a tout découvert (on ignore comment) et l’a mise dehors. Mais ce qui achève définitivement Elda est leur rupture par téléphone (sans savoir que sa mère a joué un rôle dans l'histoire); à partit de ce jour, Elda s’est juré de ne plus jamais tomber amoureuse et encore moins de revivre le même cauchemar qu'avec Casey.

Ses précédentes relations ont été chaotiques et ont laissés en El' des cicatrices non refermées. Elle flirte avec Nevra quelques temps mais choisira d'y mettre fin.

Au début, Valkyon a été la seule personne du QG à avoir été bonne avec elle, la voyant perdue et seule. Au fil du temps, ils ont finis par devenir amis et à veiller l'un sur l'autre, surtout après la mort de Lance où elle n'a pas eu peur de lui remettre les pendules à l'heure quand il a été trop loin dans le deuil. Valkyon se fie souvent à ses conseils et opinions, surtout la gestion de l'Obsidienne. Quand elle sent un changement s'opérer après des années ensembles à se côtoyer, elle choisit le déni par peur de souffrir voire de faire souffrir. Elle ne se doute pas que cela fait des années que Valkyon l'aime mais ne tente rien. De nombreux gardiens pensent qu'ils sont amants à cause de leur intimité jugée ambiguë par moments mais aucun ne réfute ou confirme ces insinuations.

Déteste :Miiko et elle se détestent mutuellement (parce qu'Elda n'est loyale qu'à l'Obsidienne).
Ezarel la traite de râleuse (son humour ne l'atteint pas) et Lance n'aimait pas du tout El' à cause de la potentielle influence qu'elle a sur son jumeau même si les choses se sont améliorées avant sa disparition.
Elda n’aime pas Karenn pour son manque de maturité. La raison de leur animosité est Nevra et depuis, Karenn la déteste et est la première à insinuer qu'elle et Valkyon entretiennent voire ont eu une liaison.

commentaires

Lulyah : J'ai eu l'opportunité de découvrir Aglad récemment en l'honorant d'un texte sur un topic et quelle histoire !! J'adore les OC originales et hors-normes (ici, une poupée), on se demande comment son histoire va se terminer ? Bad Ending ? Good Ending ? On verra bien.

Dernière modification par Elda-Arya (Le 30-05-2025 à 22h36)

Dernière modification par Lulyah (Le 01-08-2025 à 16h55)

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Découvre ma plume : Ma fanfiction ~ Mes histoires originales ~ Signature par @Demanciel

@iNeptuna

Bonsoir,

Ce simple pas n'a pas été simple à passer, je passais en me demandant "Je poste ou pas ?" X'D Faire le premier pas est toujours compliqué chez moi.

Aimyyy

T'inquiètes, El' sait déjà que Valkyon est un green flag et il n'y a pas que sa douceur qui l'a aidé à remonter la pente, c'est surtout sa patience et le respect... Il  a du mérite car le pauvre s'est pris tellement de vents sur plusieurs années en silence et les a quand même acceptés parce que... C'est dans sa nature de veiller sur ses proches et (bref instant histoire mythologie grecque qui a inspiré le lore de mon côté)un dragon est tout d'abord un gardien de quelque chose de sacré, un protecteur et un destructeur à la fois.

Lulyah

Le fanart reprend les codes des grandes affiches du style "Art Nouveau" d'Alphonse Mucha, que j'aime beaucoup en plus de jouer avec les couleurs jamais choisies au hasard.

Au moins, ça laisse l'imagination faire le travail et effectivement les premiers mois n'ont pas été simples surtout quand tu débarques dans un monde inconnu où c'est la loi de la jungle pour découvrir une voire plusieurs parties de toi que tu n'as jamais connu et soupçonnés.
Au moins, ça pose les bases sur leur degré de proximité. X'D El' n'est peut-être pas la plus guerrière des obsidiennes mais ça ne la rend pas moins dangereuse car elle compense avec son intelligence... Comme on le disait au XIV° siècle et encore maintenant, Il n'est pire eau que celle qui dort.

Entre nous, n'importe quel OC connait la souffrance à un moment ou à un autre. C'est leur façon de la gérer qui peut déterminer ce qu'ils sont.

Dernière modification par Elda-Arya (Le 13-06-2025 à 18h35)

Hello,

ça m'a pris du temps mais j'ai enfin fini la fiche de Ljýfan :D Je viens la déposer là c: c'est un peu long désolé

Ljýfan de Stjärn

❧ Présentation

un petit thème pour l'ambiance

Spoiler (Cliquez pour afficher)

Surnom : Lame d’Akh-Qad, l’Exilé

Genre : Masculin

Âge : Ljýfan approche la quarantaine, son sang d’elfe lui donne une apparence plus jeune

Race : Croisé Elfe de lune/Lorialet, ce métissage se montre par une carrure plus imposante et des oreilles plus petites que la moyenne pour un Elfe de lune

Peuple : Laputien

❧ Laputa -inspirée des voyages de Gulliver-

Autrefois, il existait sur terre une cité volante habitant de grands astronomes, philosophes et mathématiciens, où les non-faery et les Faeries vivaient ensemble sans méfiance. Cette cité est l’un des rares endroits Terriens ramenés sur les terres d’Eel après le sacrifice bleu, et le seul endroit à Eldarya où des Faeries vivent avec des humains -ces derniers se sont habitués au maana, bien que cela ait écourté leur espérance de vie- c’est également un endroit où l’on peut y trouver des terres fertiles.  Les Laputiens sont un peuple isolé ne cherchant pas à communiquer avec le monde sous leurs pieds -beaucoup ignorent ou ont oublié leur existence- ils font preuve d’une certaine méfiance face aux personnes d’en bas depuis le Grand Exil.

La cité de Laputa repose sur un socle circulaire en diamant, avec une architecture peu commune composée de grandes terrasses en paliers reliées par des escaliers. Beaucoup d’espèces différentes vivent à Laputa, dont plusieurs espèces nocturnes. C’est pourquoi certains paliers ne sont actifs que de jour et d’autres de nuit. Ainsi, Laputa est une cité où l’animation ne cesse jamais. Des ruisseaux partent du sommet de ces terrasses, se jetant dans quatre bassins répartis autour de la cité au palier le plus bas -un parc- Le premier palier au-dessus de ce parc étant réservé aux gardiens de la cité qui s’occupent de la sécurité ainsi que de la gestion du bien-être des habitants. Au centre du palier le plus haut, sous un dôme, se trouve la cave des astronomes, accessible par un grand escalier en colimaçon qui mène à une pièce décorée de dorures et d'instruments astronomiques. Les murs de cette pièce sont tapissés de livres. Et au cœur de cette structure flotte une immense pierre d’aimant, taillée en forme de navette de tisserand, qui permet à la cité de léviter et de se déplacer, contrôlée par ses habitants. Les Laputiens vénèrent les étoiles, qui sont leurs guides.

 


Orientation Sexuelle : Ljýfan ne cultive aucun désir pour personne, en revanche il pourrait montrer de l’intérêt purement romantique et ce quel que soit le genre de la personne.

Métier : Il fut gardien à Laputa. À la suite des événements qui l’ont mené sur les terres d’en dessous, il devient mercenaire.

Langues parlées : Laputien, langue commune à Eldarya

Armes : Armes d’hast, claymore, et bien d’autres. Il a tout de même une préférence ; il possède une lame, plutôt lourde, forgée sur mesure par un artisan Laputien. Celui-là même lui tena pendant plus d’une heure pour le convaincre à quel point le matériau utilisé était rare et exceptionnel. La lame est belle, maniable, elle tranche ; il n’a pas besoin de plus.

Talents / Dons / Pouvoirs : Autre que le combat au corps à corps, Ljýfan est très doué en couture, c’est également un bon danseur.

Contenu du sac à dos : On y trouve uniquement le nécessaire, une pochette de pièces d’or, un petit kit d'affûtage, une flasque, une carte

❧ Apparence

Ljýfan est un homme plutôt bien bâti qui entretient soigneusement sa musculature, ne mesurant pas plus d’1m72, il possède une morphologie en trapèze. Sa peau est d’une teinte légèrement violacée et parsemée d'étoiles, notamment aux extrémités de ses bras et de ses jambes. Ses yeux en amandes, dont la sclère est noire, sont d’un jaune orangé perçant, ses cheveux en mèches enroulées souvent coiffés en queue de cheval, laissent échapper quelques mèches rebelles reposant sur ses oreilles pointues. Une balafre parcourt sa joue droite, plusieurs cicatrices sont cachées derrière ses étoffes.
Son visage est tatoué, et souvent maquillé au charbon pour renforcer son regard.

Sous un manteau large, il dissimule une armure solide mais discrète, porte des vêtements confortables et proches du corps sans restreindre ses mouvements. Il porte le plus souvent des bottes dont la semelle lourde et épaisse -lui offrant quelques centimètres en plus- pourrait assommer un homme.

❧ Portrait du personnage :

❧ Tenue favorite :

❧ Personnalité

Peu bavard et peu expressif, on pourrait le penser froid et distant mais Ljýfan a simplement du mal à interagir avec d'autres personnes, surtout des inconnus. Il fait preuve d’un certain manque d’empathie mais n’est pas un tyran pour autant. Il n’a pas conscience du danger pour sa propre personne, ce qui le mène souvent à mettre sa vie en péril sans sourciller.
Ce n’est pas quelqu’un de violent, mais il peut vite se montrer quelque peu agressif. Crûment honnête, il n’a pas l’air de se rendre compte que parfois, certaines paroles peuvent être blessantes. Cette facette n’a pas l’air de déranger les personnes qui le connaissent bien, conscientes qu’il ne pense pas forcément à mal.
Il éprouve beaucoup d'affection pour ses proches et n’hésitera pas à en faire voir de toutes les couleurs à quiconque oserait les contrarier, sans même éprouver ne serait-ce qu’un remord.

❧Informations complémentaires

Ljýfan est polyphasique, le plus souvent son sommeil est réparti par phases plutôt que d’avoir une nuit de sommeil complète.

Il a déjà pris des vies.

Il apprécie le calme. Le brouhaha à tendance à l’irriter, il évite donc de passer trop de temps dans des lieux fort fréquentés.

Il ne boit pas d’alcool, et est un grand fan de jus à base de plantes.

Je repose ici le récit écrit par Lulyah pour apporter un peu plus de contexte avant la suite : La chute

❧ Journal de bord

La mer était agitée, le ciel, en colère, grondait et crachait des pierres. Malgré l’habileté de l’équipage à éviter ces débris célestes, l’un d’eux, plus petit, vint s’écraser sur le pont dans un bruit sourd.
Un matelot s’empressa d’évaluer les dégâts dans la cale. Il s’arrêta, stupéfait. Aucun débris. Juste un homme. Un elfe. Inconscient, le visage couvert de sang et son corps entaillé de plaies profondes. Des cicatrices marqueraient sa peau à jamais.

Quand il ouvrit les yeux, tout était encore flou. Il était assis, ligoté au mât et maladroitement enroulé de bandages -une tentative de soigner ses blessures- Ses oreilles sifflaient, il distinguait des voix masculines, des rires, puis un visage qui se penchait beaucoup trop près du sien. Par pur réflexe,  l’elfe envoya un coup de pied qui heurta la mâchoire du malheureux, l’envoyant valdinguer plus loin.
Maintenant il était debout, toujours ligoté au mât, pieds compris cette fois. On commençait à lui poser toutes sortes de questions : “Tu viens d’où ? Pourquoi t’es tombé de là haut ? T’es fait en béton pour avoir survécu à une chute pareille ?” Ljýfan avait mal au crâne, il voulait juste qu’on lui fiche la paix, et c’est exactement ce qu’il répondit.

Dans un vacarme assourdissant, le ciel se déchirait. Les vents hurlants arrachant les toits, les cris des civils résonnaient dans des rues presque détruites. Il se rappelait la cité se fendant sous ses pieds, et les mains de sa sœur qui lui échappaient…
Il se rappelait Laputa, les noms, les personnes, mais pas leur visage, il ne pouvait plus en distinguer un seul…
Et aujourd’hui il se retrouvait sur ce navire de misère, à réparer le pont, les voiles, les fringues puantes et trouées d’un équipage de corsaires qui lui inspirait le dégoût. Il décida pourtant de rester, n’ayant nulle part où aller, c’était sa vie désormais, animé par une rage de ne plus appartenir à rien.

La nuit il se cachait, seul sous une lanterne, armé d’un crayon et de parchemins. Il recopiait méticuleusement les cartes des terres d’en dessous, celles qu’on avait refusé de lui prêter.

Le navire reprenait la mer après un ravitaillement. Cette fois, deux passagers inhabituels étaient à bord. Deux silhouettes, drapées de capes brodées en fil d’argent, il remarqua leurs armures immaculées et leurs épées fines dissimulées sous ces longs manteaux, des chevaliers pensa-t-il.
Il semblait être le seul à pouvoir les approcher sans provoquer d'action de recul ou de dégoût.
Sous leurs capuchons, il distinguait des oreilles violines, pointues, des Elfes de Lunes, tout comme lui.
Il remarqua leur regard souvent posé sur lui, puis un jour, il retrouva ses affaires sur le pont, soigneusement rangées à côté des leurs.
On lui saisit le bras mais il ne bougea pas, l’elfe insista mais Ljýfan ne bougea pas d’un pouce, le fusillant du regard. “Tu ne comptes pas rester sur ce rafiot pas vrai ?” lui glissa l’Elfe à l’oreille. Ljýfan se dégagea d’un coup d’épaule, attrapa ses affaires et descendit dans la chaloupe sans un mot.
Avant de disparaître, il vit l’un des deux elfes glisser une bourse lourde de pièces d’or dans la main du capitaine.

❧L’exilé de Ljósynsalr

La chaloupe rejoignit un navire imposant mais presque désert. À bord, outre les deux elfes qui l’avaient rejoint,  seuls quatre autres elfes à l’allure aristocratique étaient présents sur le pont. On l’avait examiné, offert des vêtements neufs, élégants et soignés. On lui expliqua d’une voix glaciale qu’il était indigne d’un Elfe de Lune de fouler les terres hors de Ljósynsalr sans la permission du Ljóstýr, leur gouverneur, et encore moins du continent sacré d’Álfarheimr. Ljýfan s’abstint de rappeler qu’il ne venait même pas de ces terres.

Les deux Elfes passagers étaient en mission officielle, mandatés par le Ljóstýr lui-même. Le capitaine du navire, habitué à négocier avec ces élites, avait discrètement informé les gardes de la présence de Ljýfan, scellant un accord qui s’était conclu contre une lourde somme d’or.

Le navire atteignit enfin le rivage d’Álfarheimr, il leur fallut peu de temps avant d’atteindre Ljósynsalr.
La vue de la cité, presque divine lui coupa le souffle : d’un blanc immaculée, elle pouvait défier les cieux de ses tours élancées. Dans les rues, les passants tous richement vêtus affichaient un air suffisant presque offensant.
On le conduisit devant le Ljóstýr. La vue de sa cicatrice qui lui balafrait le visage fit naître une rare pitié dans les yeux du Ljóstýr. Il exprima son indignation dans un long discours, affligé qu’un membre si noble ait eu à subir de telles épreuves. Ljýfan, mort d’ennui, laissa échapper un bâillement sans la moindre grâce. Ce geste fut perçu comme un affront. Le Ljóstýr s’offensa instantanément. Il ordonna que Ljýfan soit enfermé sans délai jusqu'à temps qu’il apprenne ce qu’est la discipline.

La geôle était loin d’un cachot sombre et humide, il s’agissait plutôt d’une chambre assez sobre mais pas moins luxueuse pour autant. On le priva de ses biens avant de le laisser seul. En face de lui, une grande fenêtre, sans barreaux. Et en  contrebas, le vide.
Personne ici n’oserait songer à s’enfuir par là, mais pas Ljýfan.
Pendant sept jours il observa les remparts, les rondes des gardes. Au huitième jour, il s’éclipsa, sans un bruit. Rejoignant l’un des balcons inférieurs, il déroba une cape et un plastron et s’infiltra dans la citadelle, se mêlant à un groupe de nouvelles recrues.
Sous un faux nom et avec une apparence plus soignée, il devint un garde muet et observateur. Il se taisait, hochait la tête, mimait les gestes. Il assurait ses tours de garde, effectuait ses tâches.
Si les geôliers le recherchaient, ce n’était plus son affaire. Il avait foi en son déguisement et tâchait de rester discret.

Pendant plusieurs lunes, il étudia la cité. Il observait, écoutait les ragots. Il apprit le départ d’une barge marchande dans deux lunaisons. Il retrouva ses biens et les dissimula, se fit passer pour un revendeur d’artéfacts et se glissa dans une file qui serpentait jusqu’au quai.
Par-dessus les toits immaculés de Ljósynsalr, il jeta un dernier regard. Jamais il ne reviendrait.

❧Akh-Qad

Ljýfan quitta Álfarheimr. Il entreprit une vie d'errance, mercenaire. Son nom circulait de village en village, il attisait la curiosité. On s’étonnait de voir traîner un Elfe de haut lignage dans les tavernes paysannes.
Reconnaissable entre mille, les rumeurs à son sujet se répandirent rapidement. On disait qu’il acceptait toute mission, ingrate ou absurde.
Certains rapportent l’avoir vu amener un sac tâché de sang à un tavernier tremblant. D’autres l’auraient aperçu courant après un troupeau de crylasm égaré ou disputant une course effrénée à une libleunette en cavale. En échange, il recevait son lot de pièces d’or, ou le logit.

Un soir, alors qu’il sirotait sa boisson aux feuilles succulentes et fruit de miel, on lui proposa une mission : escorter une troupe itinérante sur le chemin vers Akh-Qad, la cité des arts, et superviser son ravitaillement. Il accepta sans discuter.

La route était longue et ponctuée de haltes.

C’est en chemin qu’il rencontra Xihuitl, une danseuse de la troupe. Jeune Nahual à la peau brune, aux vêtements pourpres et aux cheveux de jais. D’un naturel juste et fort caractère, elle venait souvent le trouver à la nuit tombée. Elle répétait ses chorégraphies sous son regard, l’interrogeait sur ses souvenirs. Parfois, elle s’endormait contre lui prétextant une insomnie, emmitouflée dans ses draps.

La troupe atteignit finalement Akh-Qad. La cité était animée comme il s'y attendait. La troupe se préparait pour sa représentation, tandis qu'on chargeait Ljýfan et d'autres hommes de mains de s'occuper du ravitaillement. Ils se retrouvèrent alors au Bāṣar d'Or, un marché immense où se mêlaient senteurs, étoffes… et esclaves.
Non loin de l’étal, des cris de surprises et applaudissements de firent entendre. Là, il assista à un divertissement des plus macabre : un faery corrompu, enchaîné sur une estrade, exposé comme bête de foire à la foule en délire, armée de pierres. Écœuré, il détourna le regard et s’éloigna.

Quelques jours plus tard, la troupe se produisit sur la plus prestigieuse scène du Bāṣar d’Or. Xihui ouvrait le bal, légère et gracieuse. Ljýfan l’observait en retrait, presque souriant.

Trigger Warning pour violence, pas vraiment détaillé mais sait on jamais

Une silhouette surgit sur scène. Il reconnut son aura l’instant même où l’intru entra dans son champ de vision. Avant qu’il ne puisse agir, le corps de Xihuitl s’effondra, dépourvu de sa tête. L’estrade se peint d’un liquide écarlate.  Un rire monstrueux résonnait dans la salle, suivi de cris de terreur. Ljýfan, glacé d’effroi, avança d’un pas lent, main sur le fourreau. Le faery bondit sur lui. Il le tailla en pièces.
Les genoux au sol, baignant dans une mare rougeâtre, il prit le visage de Xihui dans ses mains avec toute la délicatesse dont il était capable. Murmurant des excuses presque inaudibles.

Fin du TW

Les râles au loin le ramenèrent à la réalité : la ville était en proie au chaos. Des esclaves mutés, déchaînés, attaquaient la foule. Les soldats peinant à garder la situation sous contrôle avec les civils affolés. Arrivant par l’arrière, Ljýfan se jeta dans la mêlée. Il peinait, seul contre plusieurs d'entre eux.
Une unité de la Garde d’El, non loin de là, arriva en renfort. Un homme à la peau mate et aux cheveux d’argent lui prêta main-forte. Un hochement de tête suffit entre eux. Plus loin, un vampire menait l’assaut.

Au crépuscule, le calme revint. Seuls restaient de ces corrompus des corps mutilés sur les dalles claires de la cité. Parmi les rescapés, Ljýfan aperçut un visage familier : le même marchand qui exposait les esclaves comme bêtes de foire, tenta de s’éclipser.
Ljýfan le rattrapa, le plaqua au sol, prêt à briser la nuque de cet imbécile.
Le vampire intervint, exigeant qu’il le lui livre vivant. Ljýfan refusa. Ils s’affrontèrent brièvement. D’un coup de pied  brutal, il envoya le chef de garde s’écraser contre un mur. Deux côtes brisées. Son collègue intervint aussitôt, le neutralisa et ordonna qu’on attache Ljýfan et le marchand. Tous deux seraient jugés pour leurs actes respectifs.

Conduit au quartier général, Ljýfan est placé en détention. Il descendait d’immenses escaliers en colimaçon menant aux geôles, quand il crut percevoir une voix :

« Ljýfan ? »

Du coin de l'œil il l’aperçut. Une silhouette élégante, robe d’un bleu royal, le fixait de loin. Peau pâle, cheveux d’ébène. Il n’eut pas le temps de répondre. Les portes se refermaient déjà derrière lui.


Relations :

- Famille : Aljyviah de Stjärn et Adelmar Aèlbehrt ses parents n’ont d’abord pas adhéré à son choix de vocation, pensant qu’il suivrait les pas de sa sœur à l’université.
Daraen Aèlbehrt sa demi soeur  lui donnait de l’argent en cachette pour l’aider à financer son apprentissage

- Amis : Xihuitl, juste Xihui. Leur relation tendait vers quelque chose d’un peu plus intime jour après jour

Lulyah

C'est un plaisir d'en découvrir plus sur tes différents ocs
Aglad : Une légère tendance psychopathique je dirais. Un personnage qui se fond très bien dans l'univers des contrées d'Halloween, bien pensé !
Et sa relation avec Cobalt, adorable qu'elle se soit enticher d'un humain qui devint vite un pilier lui permettant de se canaliser.
Espérons qu'elle retrouve Cobalt encore en vie ou ça va mal tourner cette histoire !

Evana : J'aime beaucoup comment tu as dépeint les Nymphes sylvestres et leur affinité aux végétaux tout est logique c: Sympa l'amitié avec un gland et le cerisier centenaire, je me demande quelles histoires peut-il bien lui conter :D
Je n'imagine pas l'effet que cela doit provoquer de perdre la vue si subitement, maintenant, trouvera t-elle le moyen de la recouvrer

Elda-Arya

C'est super que tu ais su franchir le pas pour venir présenter ton personnage c: Quelle histoire morose, tout ce qui lui tombe dessus :c C'est une bonne chose qu'elle tombe sur Valkyon, ces plaies pourront peut-être enfin se refermer. Malin de la faire arriver à Eldarya par le biait d'un lac au vu de son affinité avec l'eau, d'ailleurs je me demande à quelle race elle pourrait bien appartenir si elle n'est pas une sirène mais qu'elle peut en prendre la forme.
Joli fanart au passage

Voilà voilà, sur ce, bonne soirée c:

Dernière modification par Daraen (Le 14-06-2025 à 21h22)

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© Thimberly      © Istalrì      © Daraen

Bonjour,

Je viens ajouter un peu de vie avec quelques questions (ouvertes) concernant les OCs de mes VDD pour mieux les découvrir et échanger *.* ... Oui, j'aime découvrir vos créations car c'est une partie de nous-même qu'on expose.


Comment vos OC sont-ils nés ?

Y avait-il des versions alternatives, qu'elles soient physiques ou psychologiques ou autres, qui ont menés à celles présentes ici ?

Est-ce que ces OC abordent ou portent des valeurs particulières ?

Est-ce qu'entre OC, il y aura des ententes si tous et toutes étaient dans la même pièce ?

J'en ai sûrement d'autres sans qu'elles ne viennent de suite en tête.

Dernière modification par Elda-Arya (Le 21-07-2025 à 23h04)

Bonsoir,

Je vais répondre à mes propres questions

1- El' est née durant mes débuts sur Eldarya (vers l'épisode 7-8) donc durant mes premières années à la fac'. A part son prénom, je n'avais absolument rien donc on peut dire qu'elle a fait un sacré chemin. Puis j'ai joué sur le nom du jeu avec Elda comme premier prénom et Arya en second qui est celui de son arrière-grand-mère paternelle (de qui elle tient ses origines Faery) et vu que j'aime jouer avec les significations, son prénom entier signifie "bataille" en germanique et soit en sanskrit "noble/respectable" soit en hébreu "chanson". Le nom de famille a mis plus de temps à venir donc j'ai pris un nom anglais courant Smith qui lui vient de sa mère et Evangelis de son père, qui fait double référence d'abord au défunt compositeur Vangelis dont "La Petite Fille de la Mer" qui sert de thème à Elda et à ses croyances.
Et en regardant une vidéo d'écriture, ça critiquait le fait que les personnages féminins qui rejettent la féminité, (à prendre au sens large) parce que ce serait une prison (va falloir m'expliquer pourquoi), ou les émotions sont des personnages forts. C'est assez réducteur car il y a beaucoup de femmes qui sont fortes à leur façon, les émotions ne sont en aucun cas des faiblesses et pas qu'en étant des talents du combat.
Faire d'Elda une femme coquette, amoureuse de la mode et surtout une joueuse de League of League casse un peu le personnage en apparence de mean girl, sérieuse et vaniteuse dans une garde de guerriers. Ca lui donne un côté décalé assez drôle car on aurait pas du tout cette image d'elle qui signifie clairement qu'une couverture de livre ne veut pas toujours tout dire sur son contenu. X'D

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Ces deux versions sont évidemment différentes :

- Elda aux yeux violets a 21 ans quand l'histoire débute, elle est plus sûre d'elle même si elle a quelques hésitations quand elle atterrit sur Eldarya et les circonstances sont différentes de celles du jeu (elle s'enfuit dans le bois près de chez elle mais on ignore pourquoi). Bien sûr, sa relation avec Valkyon ne débute et n'évolue pas de la même manière même si la base reste la même dans l'autre version => ici, c'est strangers => friends => lovers sur 2 ans. Le lien avec Leiftan est identique au jeu à quelques détails près et on sait tous ce qui se passe quand deux hommes aiment la même femme...

- Elda aux yeux verts n'a que 18 ans et est psychologiquement plus vulnérable quand elle se jette dans un lac la conduisant sur Eldarya après s'être fait mettre dehors et larguée. Elle a connu Lance en tant que Chef de l'Obsidienne et donc Valkyon automatiquement quand ils étaient jeunes (ils n'ont que deux ans d'écart avec elle) et son rapport aux autres personnages n'est pas le même. On est ici toujours dans le friend to lovers (j'aime cette trope contrairement à ennemies to lovers) mais avec un slow burn. Si dans la première version, El' est tout au long quelqu'un avec beaucoup de fierté qui n'a pas peur de tenir tête, ici elle s'impose progressivement et ose s'opposer aux avis contraires.

Dernière modification par Elda-Arya (Le 27-08-2025 à 22h13)

Bonsoir,

Je profite de cette fin des Jeux Intergardes pour venir vous présenter ici l'Oc de j'ai immaginé pour l'occasion c:
C'est moins long que l'histoire de Ljýfan promis !

@Aimyyy Merci pour ton commentaire, je n'écris pas souvent donc ça me fait plaisir de savoir que la lecture était agréable ^^
Au vu de leur quelques petits points commun je dirais qu'Aimylis et Ljýfan pourraient bien s'entendre oui.
De plus, je ne sais plus si je l'ai mentionné ou non mais Ljýfan apprécie secrètement les blagues, ça ferait un duo intéressant.

Hyacynth

❧ Présentation


petit thème pour l'ambiance

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Surnom : Brindille

Genre : Féminin

Âge : Difficile à dire, elle même ne le sait pas. Elle est née telle qu’elle est et ne vieillit pas.
Le temps à l’air de s’écouler différemment à ses yeux.

Race : Hyacynth n’appartient à aucune race connue. C' est une faery synthétique.

Talents : Elle est douée en dessin, et elle a un don pour finir  toute crasseuse.
Elle est aussi très chanceuse.

Garde : Absynthe

Métier : Passionnée par les plantes, elle s’est portée volontaire pour s’occuper du jardin, même si jardinière n’est pas réellement son métier.

Contenu du sac à dos : Un carnet à croquis et quelques crayons, des petites fioles, une petite truelle de jardin, une gourde et une pochette de bonbons au miel.

❧ Apparence

Hyacynth est une jeune fille en apparence. Fine, petite, elle ne dépasse pas le mètre 60. Ses longs cheveux d’argent sont souvent tressés et enroulés sur sa tête. Sa peau est blanche comme neige, de petites tâches décorent ses joues rondes, légèrement rosées. Des marques d'écorce restent visibles sur son front et s’étendent jusqu’à son petit nez. Elle a les yeux bleus.

❧ Personnalité

Peut-être avez-vous entendu parlé de l'Absynthe argentée. Peut-être l’avez vous déjà croisée sautillant gaiement en direction du Jardin du Q.G.
On dit d'elle qu'elle serait un peu simplette, bonne qu'à la cueillette et au ménage. Une fille beaucoup trop naïve, qui ne sait pas dire non. Une fille qu'on trouve bizarre, une fille dont on se moque.
Elle fait beaucoup d'efforts pour se faire des ami.es, et pourtant, on la retrouve souvent seule.
S'il vous arrivait de chercher à vous rapprocher d'elle, ne prêtez pas trop attention à ses étranges manières, c'est une gentille fille, vous pouvez me croire.

❧ Il était une fois…

Une sorcière solitaire vivait dans les bois brumeux d'une contrée reculée, seule dans sa chaumière. Si seule qu'elle se sentait mourir d'ennui.
Alors un jour, elle s'en alla dans la forêt avec ses outils, et dans le tronc du plus bel arbre argenté qu'elle eut trouvé, elle sculpta le corps d'une jeune fille. Elle lui fabriqua un cœur, et lui plaça dans sa poitrine.

Le jour où la créature prit vie, elle ne savait ni marcher, ni parler. Alors, la sorcière lui apprendrait. Elle allait s'occuper d'elle, comme une mère le ferait.

Les années passèrent, Hyacynth menait une vie simple.
Un matin à l'aube, elle s'en alla chercher du petit bois, quand un point bleu attira son attention. C'était un papillon, exactement comme ceux dessinés dans les livres de sa mère. Animée par la curiosité, elle ne pût s'empêcher de le suivre, jusqu'à sortir des bois.
Toute sa vie, elle ne connut que sa petite forêt brumeuse.

La tête vide, elle s'aventura dans de nouvelles contrées, elle goûtait à tout ce qu'elle trouvait, gribouillait dans son carnet les fleurs qu'elle voyait pour la première fois, observait des créatures qu'elle ne connaissait pas.

Sur son chemin se dressa un immense mur blanc. Elle n'en n'avait encore jamais vu de si grand. Et par dessus ce grand mur blanc, elle vit les branches d'un grand arbre au rose feuillage. Ni une, ni deux, elle escalada cette muraille.
De l'autre côté, les gens la regardaient bizarrement. Certains d'entre eux se précipitèrent pour la maîtriser.
On lui posa un tas de questions, elle ne comprenait pas, mais y répondait du mieux qu'elle pouvait.

N'ayant nul part où aller, elle finit par intégrer leur rangs, sans vraiment savoir ce que cela allait signifier.

Combien de temps avait-elle erré ? Nul ne sait.


❧ Relations

L'elfe aux cheveux bleus, aussi surprenant soit-il, reste plutôt poli envers elle. Bien qu'il ne lui partage aucun sourire.
Il l'envoie par monts et par vaux, chercher des ingrédients, des plantes, faire la messagère… Il lui délègue toutes les petites tâches les moins intéressantes, elle ne rechigne jamais de toute manière. Il ne manque pas de la remercier sans ajouter un mot de plus.

Le vampire à l'air de l'apprécier. Les deux échangent parfois quelques mots, le chef de garde lui ébouriffe la tête quand il passe près d'elle, lui fait signe de la main quand il la voit au loin,  lui pince affectueusement la joue, alors qu’elle mange dans son coin.

Le grand costaud lui, l’aide parfois à porter ses lourdes caisses au jardin. Il s'assied à sa table, quand elle mange seule. La débarbouille, lorsqu’il aperçoit une trace de boue sur son visage.

L’homme aux tresses ne lui prête pas un regard.

La jeune kitsune ne la laisse jamais partir en mission, préférant lui déléguer de petites tâches au sein du Q.G.

L’infirmière lui rabâche de faire plus attention quand elle sort ou jardine, afin d’éviter de s’écorcher les mains une fois de plus.

L’orc aime regarder son carnet de croquis et l’écouter parler des différentes plantes qu’elle y a dessiné.

L’homme à la corne est très intrigant, à plusieurs reprises Hyacynth à tenter de lui attraper la queue de licorne, le forçant à rester sur ses gardes lorsqu’elle est dans les parages …

Hyacynth s’arrête au refuge d’Eel lorsque la dame lorialet Daraen  y conte ses histoires aux enfants.

Je reviendrais répondre au petit questionnaire d'Elda-Arya une autre fois c:


Bonne soirée


@ZuzoHyo

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© Thimberly      © Istalrì      © Daraen

Hello,

Je viens répondre au petit questionnaire ~
Je reviendrais sûrement répondre aux questions pour les autres dans un autre post c:

Comment vos OC sont-ils nés ?

La version actuelle de Daraen est née peu avant l'incendie, je voulais un personnage à ma sauce qui pourrait très bien s'intégrer dans le monde d'Eldarya

Y avait-il des versions alternatives, qu'elles soient physiques ou psychologiques ou autres, qui ont menés à celles présentes ici ?

Ooh oui, au tout début du jeu elle avait les cheveux mauve puis la peau blueue,  et je n'avais pas encore décidé de sa race ni son histoire.
La jeune joueuse que j'étais à l'époque l'imaginait ultra puissante, un charactère presque hautain et imbatable hein c':
Elle a commencé à changer d'apparence quelques années plus tard, on commençait déjà à voir son bleu royal emblématique, mais ses cheveux étaient blanc.
Elle portait des bois et ses yeux masqués ou fermés, c'était une pythie/prophetesse à ce moment là, plus de super pouvoir destructeur c':

J'ai d'ailleurs retrouvé récemment pas mal de très vieux dessin qu'on m'a fait sur DLGDD à l'époque, et que j'ai rajouté au drive sur mon profil

Est-ce que ces OC abordent ou portent des valeurs particulières ?

Daraen représente pour moi le lâcher prise, l'acceptation, la résilience, la bienveillance.

Est-ce qu'entre OC, il y aura des ententes si tous et toutes étaient dans la même pièce ?

Je pense que oui, c'est une personne qui va vers les gens et avec qui on discute facilement.

Quelles ont été vos sources d'inspirations pour vos OC ? (personnages historiques, mythiques, fictifs,...)

Ceux et celles qui jouent aux jeux Fire emblem auront peut-être remarqué que le nom vient clairement d'Awakening c':
Je me suis pas mal inspirée des voyages de Gulliver notament pour son foyer à Laputa.
Pour son apparence (j'essaie de lui faire un charadesign mais ce n'est pas fini) je m'inspire quelque peu de la mode du 19e siècle

Ce que vous aimez chez vos OC ? Ce que vous détestez ?

Chez Daraen ce que j'aime c'est sa franchise et son calme. Il n'y a pas de point en particulier que je déteste pour cet oc

Avez-vous des points communs avec vos OC ? Si oui, lesquels ?

Être franche je dirais, et j'aimerais bien pouvoir être comme je l'imagine c':

Commentaires EN COURS

@Shokolys

J'adore le concept, vive le chocolat, ave la princesse chocolat.
Sa tenue de princesse est trop jolie dans ces tons chocolatés.
Ces pouvoirs rah... le rêve... Hyacynth l'adorerai ça serait sa déesse au chocolat ~


@Istalrì EN COURS

C'est tout, à plus !

Dernière modification par Daraen (Le 01-11-2025 à 18h33)

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