Le spot dont je parle

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#1 Est-ce qu'un film bien noté a forcément besoin d'une suite ?

#2 Est-ce que le taux de personnes qui ne savent pas lire est lié au système scolaire ?

#3 Est-ont obligées de suivre tout le temps la mode ?

#4 Les héroïnes de jeux de romance sont-elles trop naïves ?

#5 L’amitié homme-femme est-elle possible ?

#6 Peut-on choisir sa famille ?

#7 Est-ce que le fait de ne pas vouloir d’enfant est égoïste ?

#8 Croyez-vous au coup de foudre ou n'est ce qu'une utopie ?

#9 Pensez-vous qu’une personne influente sur les jeunes doit mesurer ses propos par rapport à son public ?

#10 Comment percevez-vous la "drague de rue" ?

#11 Êtes-vous choqué par la possible relation prof/élève majeur.e ?

#12  Comment les jeux-vidéos peuvent se répercuter sur les enfants/adolescents ?

#13 Que pensez-vous des relations à distance ?

#14 Que pensez-vous du mariage ?

#15 Considérez-vous les jeux vidéos comme un sport ?

#16 Avons-nous un corps ou sommes-nous un corps ?

#17 Que pensez-vous de la PMA ?

#18 Les abandons d'animaux: quelles solutions ?

#19 Que pensez-vous du fait que de lourds thèmes sont abordés dans Eldarya?

#20 Choisiriez-vous Karenn comme meilleure amie dans Eldarya, si vous aviez le choix ?

#21 Faire des choses folles par amour.

#22 Sommes-nous seuls dans l’univers ?

#23 Quel est votre rapport à la littérature ?

#24 Quels médias préférez-vous, la raison ?

#25 Les téléphones portables à l'école, une nécessité ?

#26 Quel est votre avis concernant le téléchargement illégal sur Internet ?

#27 L'occidentalisation et l'américanisation des pays.

#28 Pensez vous que le but de la vie est d'avoir des enfants ?

#29 Que pensez-vous du changement d'heure (avoir une heure d'hiver et une heure d'été) ?

#30 L'avortement pour ou contre votre avis sur les antis ?

#31 Le clonage est-il moralement acceptable ?

#32 L’établissement scolaire VS les cours par correspondance : quel serait selon vous le meilleur système pour réussir sa scolarité ?

#33 Pensez-vous que le transhumanisme sera la prochaine étape inévitable de l’évolution de l’homme ?

#34 L'ancien système VS le nouveau système de PA?

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Déjà car je voyais partout le net, IRL les gens parlaient de leurs grossesse, joie, projet d'enfants donc je me disais c'est normal, je dois aussi avoir envie d'un truc aussi super
Les commentaires des gens en général IRL comme IVL de cousines, d'amies rêvant d'en avoir (une fois j'avais le "malheur" de dire je n'en voulais pas, j'ai droit à un conseil de famille, analyse psychologique de la famille à ma mère pourquoi ce refus, cette bizarreté, que c'était génial d'en avoir...)mais plus insidieux d'une amie (encore un plein stress car célibataire depuis 2/3 ans désormais) dont la famille lui dit qu'elle devrait faire des enfants et vite (écart d'âge ce creusant) pour qu'ils/elles joue avec leurs cousins pour resserrer les liens familiaux, la famille autour des enfants mais dans le fond elle n'est pas emballer mais ce sent pousser à le faire en plus elle est très proche de sa mère qui a eu des moments compliqués donc se sent en devoir de lui faire ce "cadeau"
Ont pourraient passer en vue que comme j'ai été peu garder par mes parents dans mon enfance vue leurs travailles horaires, j'ai je pense voulu être meilleur qu'eux, comblé un manque mais c'est impossible
Après mes rapports à mes parents sont très difficiles, à ma famille en général avec des drames...mais ce défaire de l'influence de sa famille, éducation n'est pas simple
Plusieurs fois dans ma scolarité ont nous à parlés de contraception donc dans ma tête, je me disais si ont en parlent c'est pour au final au bon moment finir par en avoir c'est que je pensais
Ma famille est traditionnaliste, j'ai découvert par moi même  des choses, bousculé des certitudes en grandissant, avoir des enfants étaient un devoir pour moi et une attente de mon entourage car ma propre mère asexuel et demi romantique n'avait aucune intention à l'origine d'en avoir mais la fait car sa mère en rêvais car elle était son seule enfant son mari (mon grand père maternel) n'avez pas de frères ou sœurs donc tout s'arrêterait avec elle
Donc je me suis sentit que je devais faire cette effort comme elle même avait fait
Je pense pour vous c'est dépasser, insensé, dessué mais je viens du milieu aristocratique par mes 2 parents qui en sont très fier (est méprise dans le fond les "gueux" désolé pour vous je vous apprécie quand même critique les familles royales s'accoquinant aux roturières, ont à 0 roturier dans notre sang notre noblesse remonte à très loin début du Moyen Age) bien qu'ils ont des revenues très moyens et ont eu des jobs courants en public donnait le change de gens simples mais en privé avait des attentes précises, opinion différentes et attendez que j'ai des enfants les rassurer pour transmettre son nom, les titres (surtout que mon père sa famille certain sont s'en enfant mais surtout ont épousé des roturier et renoncer à leurs noblesse) bien que le noble d'aujourd'hui n'a pas de pouvoir mais justement c'est un peu la dernière chose nous faisant existé
Cependant j'ai douté déjà car niveau sexuel je ne sentait rien, niveau amoureuse c'était confus, j'étais été fiancée au cousin d'une amie puis ont c'est séparé (à la joie moyennement ravie de mes parents car c'était des français asiatiques non nobles bien sur donc bon pour être des amis mais pas leurs belles familles pour eux), j'ai eu beaucoup de questionnement suite à ça au final lui c'est découvert homosexuel (ont est restés amis car sa cousine est une mes plus proche amies) et moi je me suis rendue compte que ce n'était qu'une amitié
Par la suite j'ai découvert l'asexualité, je m'y suis retrouvé mais je me disait "non je dois avoir un problème je ne peux pas être ça notre vie est tellement sexualité" mais je m'y retrouvait totalement puis j'ai finit par l'accepter et l'intégrer comme n'importe quel orientation sexuel niveau sentimentale après des tâtonnement du mal à m'y retrouver, retrouver j'ai finit par comprendre que j'étais demi (romantique) c'est à dire limite aromantique plus complexe aussi lithoromantique c'est à dire je peux éprouvé des sentiments pour une personne dont je serais proche mais refusé d'être aimé de la sorte et prendre la fuite par rebus
Je tiens par ailleurs à signaler que j'ai des troubles de la personnalités notamment bipolaires (et que je suis autiste) donc je change d'humeur et d'avis ce qui n'est pas rien mes décisions peuvent être réfléchit, comme des pulsions
J'ai rencontré mon mari, j'ai finit par l'apprécié, l'aimée, l'épouser (coeur) tout en ne lui cachant rien,  que faire des enfants me faisait peur (puis pudique j'avais de fortes douleurs lors des règles mais n'avez jamais été voir un gynéco bien que pousser par ma mère je pensais ayant de l'endométriose comme un membre de la famille, je n'en n'aurez pas ou du mal) que s'il voulait voir ailleurs en se protégeant voir partir il pouvait même s'il m'aime trop pour cela, je n'étais pas sur de rester
Finalement je suis tomber enceinte gros choc malgré des contraceptifs car ont étaient au début de notre relation , surprise stress, je lui dis que ne suis pas prête n'en veut pas, il comprend, j'avorte (je l'aurais fait même s'il aurait voulu le garder, j'aurais pu ne rien dire mais j'ai préfère être transparente)
Puis je retombe enceinte plus tard j'ai assimilé que je pouvais l'être donc je cède face à tout énoncé ci dessus, car je l'aime, car il est adorable est ma permis d'échapper à des conflits vis à vis de mes parents, je me sentait redevable de lui de ce qu'il m'apportait sécurité, écoute, soutient, aisance financière et hormis sur ce point il est adorable à s'effacer, il est orphelin sans famille, rêver tellement de construire la sienne
Je ne me sentait pas de refuser puis j'avais peur qu'il voit mes soucis familiaux, de santé mentale et fuit sans ça, j'aime être seule mais j'angoisse beaucoup, j'ai besoin d'une présence, de soutient quand même
Donc surprise j'ai eu des 2 paires de faux jumeaux/elles avec 10 mois d'écarts, 6 mois de congés répartit entre nous 2, l'école maternel accessible dès 1 ans, je me sentait heureuse en surface et crier ma joie après tout mes enfants avaient rapidement fait leurs nuits, était très rarement malades, manger de tout, s'entendaient à merveilles que demander de plus ?!
Sauf la société de mon pays et très accès sur le bonheur de l'enfant (de pas le frapper, contrarié..) quitter son travail ou rester chez soi en télétravail pour être avec ses enfants et normal, moi traumatisé par du harcèlement au lycée, je travaillais en distanciel dans mes boulots donc malgré une égalité avec mon mari dans tout je les subissez plus, je me sentais limiter moins de temps de mener la vie écologique, du fait maison dont je voulais
J'essayais de faire à mon idée, avec bon sens soutenue par lui face à l'incompréhension des gens quand à mon refus d'allaiter, d'une doula, le peau à peau, de refuser l'enfant dans la chambre conjugale mais dans une pièce attenante ouverte car je voulais bien être mère mais accepté la tyrannie de bébé c'était non, je faisait tout en mode check up contentieux et bon sens mais s'en tomber dans la maman poule contrairement à mon mari
Surement aussi car je suis autiste les mots doux, affectueux, le contact physique mais difficile, bien sur je ne suis pas sans coeur, j'ai des sentiments mais ne les exprimes pas pareil que la majeure partie de la population, donc je m'inquiétais mais leurs faire un câlin chanter une berceuse me mettait mal à l'aise
Après si j'avais accepté de les avoirs c'est pour une raison puéril que je ne voulais pas reconnaître, j'ai toujours adorée, était fasciné, intéressé par les prénoms et tout ce qui cache derrière tant la signification que le côté astrologie donc l'idée de pouvoir choisir des prénoms m'enthousiasmé en plus que je détesté les miens, un peu une revanche d'ailleurs mon mari (même si je l'ai concerté) ma laissé quartier libre sur ce chapitre aussi
Les 2 grossesse c'était bien passé, j'avais trouvé une gynéco-obstétricienne qui comprenait mes craintes et ma pudeur en plus d'accepter de me faire une césarienne de confort car l'accouchement de dégoûter, terrifié c'était hors de question puis j'avais un bassin étroit, j'ai échappé à l'amniosynthèse et ses risques à la place j'ai eu une prise de sang pour les éventuels maladies en plus d'avoir pu savoir le sexe tôt (c'était difficile mais le savoir, nous n'aimions pas les surprises surtout moi ça me permettait de me projeter au départ et de ne pas vriller)
Ma première grossesse me stressait je n'avais aucune envie de devoir rester, alité, être nauséeuse, je ressentais de la rancune pour mon mari qui lui ne subissais pas et était responsable de mon état puis je craignais de devenir énorme heureusement non au final
J'ai pu être active quasi jusqu'a la fin, n'ai eu aucun soucis et même n'est prit pas tant que poids (ont pensait que je n'en attendait qu'1 est non 2 c'est dire) que ça car les bébés s'étant mis au fond et étant d'un poids moyen/petit seul désagrément un mal de dos dans les ultimes mois (7/9) par contre des choses qui présagés que je n'allais pas être épanouie et folle de joie d'avoir des enfants c'est que les femmes enceintes sont ravis de leurs états, se touche le ventre, déborde de bonheur de le sentir moi je me sentais bizarre, limité dégoûter, comme si j'avais une tumeur dont je voulais me débarrasser quand ils se manifesté je pensaient: stop arrêtez je veux oublier que vous êtes là. Puis j'avais peur que les gens viennent m'abreuvait de félicitions écœurantes, questions sourire, recommandation, je ne supporte pas ça encore que j'ai échappé mon pays n'étant pas adaptés des contacts physique de me faire tripoter le ventre par tel, tel personne (si ça serait arrivé une gifle et une remarque acerbe ce serait prise la dite personne) ce qui me parait intrusif et aberrant puis en tant qu'autiste le contact physique m'est comme une agression
Finalement j'ai eu une dépression post-partum, je me détestais, je me sentais mal, j'en avais marre de cette vie de famille (tout l'amour de mon mari me saouler, m'écœurer je ne l'aime plus sentimentalement), routine (bien que j'aime la routine) j'avais besoin d'indépendance, liberté, des regrets sur ma vie professionnelle
J'ai reprit les études puis besoin de souffler, oppresser de faire le point étant de base très solitaire doute et regret d'une telle vie mon psychiatre et mon mari m'ont comprit donc je suis partie faire mon doctorat en Suisse-France (j'aurais pu attendre que mes enfants soit plus grand mais quand aurait été le bon moment ? trop de temps perdu pour moi)
Je suis actuellement loin, de ma famille cela me fait du bien, j'avais l'impression d'être frustré, limité, de me faire voler des moments par mes enfants mais je me sentais honteuse de ressentir ça car même s'il/elles ont leurs petits caractères ce ne sont pas des enfants difficiles et leur père est très présent affectueux (moi j'étais plutôt je trouvé la rabat joie avec son bon sens, ses règles) une vrai fée des logis, soutient du coup il les gèrent au début l'année dernière (fin scolaire donc septembre) je me sentait coupable de le laisser gérer les 4 mais il s'en sort et au pire si une chose importante arrivé, je sauterais dans le 1er vol tout de même
Je connais une autre personne en dépression post partum la belle soeur d'une amie qui elle a 2 fils les a voulu son dernier à 1 mois puis quand y naissent son bébé, elle ne s'en occupe plus, ne supporte plus
Je ne haie pas les enfants, il met impossible de détester un être humain sur quelque chose où il n'a pas de prise et qu'on à tous été mais disons petits, je trouve, trop de stress, contrainte, ennuie, pression...
J'aimerais qu'ils soit plus grands, indépendant rien que 8/9 ans serait bien là tout me peser puis aussi la peur de leurs avenir, ce qu'il deviendront déjà j'ai du mal à me gérer, gérer mes émotions...
Bien que cela peut être choquant, je n'ai jamais aussi était soulagé et contente quand à peine enceinte de quelques semaines (je ne savais pas), j'ai fait une fausse couche de mon potentiel 5ème enfant, 2 ans après ma dernière
Bien que mon mari est était peiné lui et aurait/aimerait bien en avoir bien plus mais accepté que non fin je pense qu'il espère que je change d'avis secrètement quand à ma famille, elle aimerait et penserait pour des raisons stupides d'identité de genres entres autres que nous ne partageons pas avec mon mari que j'ai un 5ème un garçon plus particulièrement bien que cela est peu de chance d'arrivé ayant 3 filles et 1 garçon (et grosse majorité de femmes tant du côté de ma mère que mon père) puis je risquerais tant d'en avoir 1, que 2, voir 3 suivant ma gynéco et ça rien que dit penser, j'en ai des sueurs froides